Maîtrise de Baudin.
Maîtrise de Baudin. Correspondance avec Sœur Marie de la Providence, 1846-1847 ; correspondance avec E. Hérot, directeur de la maîtrise, 1856.
Maîtrise de Baudin. Correspondance avec Sœur Marie de la Providence, 1846-1847 ; correspondance avec E. Hérot, directeur de la maîtrise, 1856.
Charlotte Chauviteau, épouse de Léon Monnier, 1854.
Lucie Monnier épouse Gréa, sa tante, 1847-1849.
Plans de Naples et Florence, s. d. ; gravure de sainte Claire, s. d. ; bréviaire en latin, 1852.
Toulouse, Darbonnay et Monay. Propriétés d'Etienne Monnier-Jobez : plans de bornage en couleur (lavis et encre) réunis en atlas[1] (lacunes), 1839 avec complément des propriétés acquises par Edmond Monnier, 1861-1865.
[1] L'atlas a été restauré en 2016.
Location du moulin à blé : baux[1], 1787-1842. Projet sans suite de construction d'une maison de maître[2] : devis, 1828. Achat de terres à Toulouse-le-Château, dont Pré En Carrouge acheté par Claude Jobez, 1814-1844. Achats de terrains autour de Baudin sur la commune de Sellières, 1828. Correspondance avec Jeannet, avocat à la cour de Dole pour contentieux avec des propriétaires privés et publics sur le domaine, 1831-1837. Vente de l'usine, des dépendances, du mobilier et des marchandises par Adélaïde Jobez à son fils Edmond Monnier[3], 1849-1850. Contributions foncières sur les propriétés bâties (sur la compagnie de Toulouse), 1893-1895. Taxe sur les réserves spéciales de réévaluation, 1961.
[1] Les meuniers successifs se nomment Jannin, Emonin et Verdot. Le moulin cesse ses activités entre la fin de 1842 et le début de 1843.
[2] Commande à l'architecte lyonnais Champonnois, auteur de la villa palladienne à Syam. Le projet reste sans suite et M.-E. Monnier continue à résider à Poligny.
[3] Vente de l'usine, du domaine rural qui en dépend, du bois de Méprend (Sellières), du mobilier de la maison de maître, du matériel d'exploitation et du stock de marchandises.
Relations avec des paroisses jurassiennes et des prêtres. Dole, 1867-1870 ; Lons-le-Saunier, 1866-1882 ; Morez, 1851 ; Sellières, 1852-1857 ; abbé Quentin, 1881 ; autres prêtres jurassiens, 1860-1884.
Philippine de Golbery, épouse de Marcel Monnier, 1847-1850 ; Edmond Bastard, époux de Marguerite Monnier, gendre de Marcel, 1881.
Justification de l'activité de colportage entre les forges de Syam et la fonderie de Baudin : correspondance entre Edmond Monnier, Alphonse et Charles Jobez avec les autorités publiques.
Livrets journaliers d'achat des maîtres de forges et de leurs femmes (Mme André Monnier, 1920-1938, Mme Edmond Monnier, 1921-1935, M. Laurent Monnier, 1930-1951, Mme Laurent Monnier, 1923-1939).
Voyage en Allemagne. Deux carnets de voyage, 1834-1835 ; cartes de visite ; lettre de recommandation des sieurs Jobez et Monnier aux frères Marx et à Séb. Pichler à Munich, 1835 ; correspondance reçue de M-E Monnier, 1835.
Henri de Bonnechose, évêque de Carcassonne, puis d'Évreux puis archevêque-cardinal de Rouen, 1844-1877.
Autres archevêchés et évêchés catholiques français et étrangers. Alger, 1874 ; Besançon, 1846-1879 ; Lyon, 1879-1882 ; Le Mans, 1863-1871 ; Rouen, 1864-1868 ; Versailles, 1859-1879. Lausanne et Genève (Suisse), 1870-1884.
H. Arcey à Morteau, 1881 ; Gustave de Chamberet, 1836-1845 ; Gagneur à Poligny, 1871-1875 ; Gobillot à Lons-le-Saunier, 1846 ; d'Hotelans, 1842-1875 ; Jeantet à Longwy et Paris, 1863-1872 ; Adolphe Joineau à Senlis, 1838 ; Ch. Labrune à Besançon, 1841-1857 ; M. Lambert, travaille sur le Canal de Suez, 1863-1868 ; Gustave Landry à Chatillon (92), 1839-1848 ; H. Leller à Paris, 1865-1875 ; Valérie Masuger à L'Etoile, 1849-1850 ; Guiseppe Miniuni à Naples (Italie), 1847 ; L. Muguet à Rome (Italie), 1839 ; Ch. Petitperrin, avocat à Lons-le-Saunier, 1873-1875 ; Pinaire, avoué à Dole, 1869 ; Alexandrine Place à Dole, 1843 ; Augustin Protet à Lons-le-Saunier, 1873 ; Mme de Valdahon à Saint-Lothain, 1842 ; Vuilletet à Nevy-sur-Seille, 1874.